Voilà, ça devait arriver. Kool Keith a enfin atterri dans le fauteuil du Combat Jack show. Le trublion du rap, aux moult avatars, se raconte depuis ses débuts dans le Bronx. Impertinence et interview fleuve, bons mots et pans d’histoire, plus quelques considérations sur la mode et son écharpe, il dit tout.
Ton monocorde et excitation vaine, à l’opposé de tout ce qu’il peut donner aux concerts, Kool Keith reste un rappeur dévoué et majeur de la scène underground, alternative, et bien d’autres qualificatifs réducteurs.
Six minutes chrono avec Kool Keith