BMO, l’avion & les bahts

Thaïlande airlines

 

BMO utilise Google Map pour repérer des lieux atypiques et aime prendre l’avion pour rejoindre ses potes en vacances. Direction la Thaïlande avec une valise bien remplie pour y commettre quelques exactions. Après quelques aventures, il se fait voler tout son argent dans sa chambre d’hôtel, quelques jours avant le coup de l’avion.

 

« J’avais repéré des avions abandonnés dans un bidonville, il y a des gens qui habitent dedans. C’est des Boeing 747 coupés en deux, transformés en maison.

Il me restait 100 dollars dans les poches, mon programme c’était de faire une photo avec mon pote et de faire du shopping avant de rentrer en France. Sachant que je m’étais fait voler tous mes sous deux semaines avant à l’hôtel, sale histoire aussi.

J’avais parlé avec un mec du bidonville qui m’avait dit pas de problèmes pour peindre, je savais qu’il fallait lâcher un petit billet. Le mec me montre un avion complètement détruit, et je lui dis que je préfère un moins abîmé. Donc je lui donne un autre billet.

Je commence à balancer des ballons de peinture, et là une grand-mère sort en hurlant, et tout le bidonville commence à rappliquer. Elle me met un coup de pression, elle voulait appeler la police. J’étais en panique, et je lui explique que j’ai payé.

Alors elle parle aux petits, ils reviennent avec des bassines et des éponges et elle me dit « You clean! You clean! » Là, tu vois, un avion ça fait peut-être 15 mètres de haut, alors c’est pas vraiment possible, donc elle me dit de filer 50 bahts à tout le monde.

Ils ont fait la queue et j’ai donné mes derniers 1000 bahts. Mon pote en a filé aussi, ça nous a coûté 180 euros cette histoire ! Quand les photos ont été finies, les petits ont jeté les bassines d’eau et se sont barrés. »

 

 

 

Bonus Seth Gueko

 

« On est allés dans le bar de Seth Gueko, et là il nous a présenté des filles. Elles font un peu de l’animation et d’autres trucs. Lui, il leur a appris à jouer au Puissance 4. Et les meufs, elles sont trop fortes !

Elles viennent te voir, elles te proposent de jouer, et là elles te battent une fois, deux fois, trois fois… Et à chaque fois tu payes un verre. T’es énervé, parce que tu perds, t’as le seum ! En plus on était même pas bourrés.

Moi je me suis fait baiser, Nino aussi, on s’est tous fait avoir ! Au bout de la huitième partie, j’en ai gagnée une donc j’ai eu un verre. Et là, j’ai arrêté de jouer. »